2 Timothée 2.10 enseigne-t-il que seuls les élus seront sauvés ? (David SHUTES)

 

  Ne trouvant aucun commentaire pertinent sur ce verset, j’ai posé la question à David SHUTES. Bonne pioche ! C’est avec sa minutie habituelle que David explore pour nous les deux mots-clés du verset : le salut et l’élection ! Continuer à lire … « 2 Timothée 2.10 enseigne-t-il que seuls les élus seront sauvés ? (David SHUTES) »

Et si certains de nos objectifs étaient irréalistes ? (d’après Neil T. ANDERSON)

Dans ce 3e article extrait de son livre, l’auteur nous propose de réfléchir sur les objectifs que nous nous fixons. Et si certains d’entre eux étaient tout simplement irréalistes et nous menaient tout droit vers la frustration, voire vers la dépression ? Neil T. Anderson nous aidera à distinguer entre… Continuer à lire … « Et si certains de nos objectifs étaient irréalistes ? (d’après Neil T. ANDERSON) »

La Bible enseigne-t-elle la totale corruption de l’homme ? (C.R.)

Le dogme de la TOTALE corruption de l’homme va trop loin, quand il affirme qu’on ne peut trouver dans l’homme naturel absolument aucune impulsion au bien. Tout le monde sent bien que c’est faux, et l’apôtre Paul lui-même en convient lorsqu’il écrit :

Quand les païens, qui n’ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi… À peine mourrait-on pour un juste ; quelqu’un peut-être mourrait il pour un homme de bien… » etc.

L’homme naturel déchu sait toujours que voler c’est mal, que mentir c’est mal, que tromper sa femme c’est mal, mais qu’aider son prochain, c’est bien, qu’honorer ses parents c’est bien etc. etc.
Il suffit d’ailleurs de jeter un coup d’œil aux codes civils de tous les temps pour constater que l’homme ne définit pas lui-même le référentiel du bien et du mal, mais qu’il suit plus ou moins imparfaitement la loi de sa conscience, qui n’est autre que le référentiel de Dieu.

Il est vrai que dans les derniers temps d’une civilisation, comme le dit Ésaïe, les hommes peuvent appeler le bien mal et le mal bien, mais ce sont des signes extrêmes de la fin, qui justement provoquent l’indignation du prophète ; ce n’est pas la règle générale de l’homme naturel, de l’homme pécheur.

On peut certainement trouver diverses définitions à la « nature » d’un point de vue philosophique. Mais du point de vue humain, c’est d’abord ce qui nous est transmis, ce que nous héritons de nos parents, et qui ne peut manquer de se manifester. Or il est indéniable que tous les hommes en grandissant éprouvent ce sentiment du péché ; le péché fait donc effectivement partie de notre nature, et pas seulement de la liste des mauvais actes que nous avons individuellement commis.

On peut dire que la bienveillance particulière dont Dieu entoure les petits enfants (Luc 18.16) ne s’accorde pas avec l’idée puritaine d’une corruption totale de l’homme. Mais le fait qu’ils s’endurcissent en grandissant prouve aussi que le péché habitait en eux dès le départ, comme un virus étranger, comme une tare génétique.

Claude R.   ThéoTeX

(Extrait – avec accord – d’un E mail de Claude R. à Claude S.)



Le misérabilisme est-il vraiment biblique ? (C.S.)


Sur un blog, j’ai lu la citation suivante de Charles Spurgeon : « L’homme n’est qu’une masse puante de corruption, c’est un fait. Son âme toute entière est par nature tellement avilie et dépravée qu’aucune description -même en langage inspiré !- ne saurait en exprimer la bassesse. Dans la meilleure des prières de l’humain le plus consacré ayant vécu sur cette terre, il y avait suffisamment de péchés pour la rendre abominable devant Dieu. » Continuer à lire … « Le misérabilisme est-il vraiment biblique ? (C.S.) »

Et s’il y avait un autre extrême à l’activisme ? (Jean-Paul PELSY)

 

L’article Tout ramené à moi ? de Richards/O’BRIEN  nous a rendus attentifs à l’écueil de nous approprier indûment des promesses qui ne nous concernent pas personnellement. D’autres articles alertent sur le danger inverse de ne pas se sentir concernés par celles qui nous sont vraiment faites. Jean-Paul Pelsy aimerait réfléchir avec vous sur une 3e attitude inappropriée face aux promesses de la Parole de Dieu. Continuer à lire … « Et s’il y avait un autre extrême à l’activisme ? (Jean-Paul PELSY) »

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Citations

Citations issues d’écrits de’auteurs se réclamant du calvinisme

Ce blog ne se veut pas agressif. Mais il est évident qu’il heurtera les sensibilités déterministes d’un calvinisme pur et dur.

Cet article pointe à l’autre extrême, vers l’arminianisme pur et dur, qui ne verrait plus dans les calvinistes évangéliques des frères, mais des adversaires à abattre ! Je dois vous avouer que j’ai une excellente communion avec des frères qui se réclament de la doctrine calviniste, et que nous évangélisons souvent ensemble, présentant entre autre le même message du salut aux portes de nos concitoyens !
Je leur laisse la cohérence de la chose, comme je laisse aux auteurs ci-dessous la leur, car ils ont souvent aussi écrit tout autre chose. Mais ces écrits-ci nous aident quand même à construire des ponts entre les rachetés du Christ ! Commençons par celui qu’on appelle le prince des prédicateurs : Spurgeon !


http://peresdelÉglise.free.fr/Augustin/foi.htm .    >> Saint-Augustin a-t-il vraiment enseigné « l’horrible dessein » comme plus tard Calvin ? 

Martin Luther considérait le verset de Jean 3.16 comme l’Évangile en miniature et écrit :
On y trouve résumé en quelques mots l’exposé de ce que Dieu a fait, avec la raison et le but de son action. Tout est grand dans cette phrase, parce que tout est divin : un grand Dieu d’amour qui aime toutes ses créatures ; un grand don : son Fils ; un grand appel : quiconque ; une grande délivrance : ne périsse pas ; un grand héritage : la vie éternelle. » (cité par « La Bonne Semence »

Ce monde est sombre comme la nuit ; Jésus est venu afin que, par la foi et l’obéissance, nous ne demeurions pas plus longtemps dans cette obscurité qui couvre l’humanité, mais pour que nous ayons la lumière.
Le mot « quiconque » est un terme vaste qui comprend tout le monde, vous, moi.
Si nous suivons Jésus, nous ne serons plus assis dans les ténèbres de l’ombre de la mort ;
nous entrerons dans la chaude lumière d’un jour qui n’aura pas de fin.  (texte : Jean 12.46)
Spurgeon, Trésors de la Foi  du 10 mars


Dieu n’a craint ni l’existence ni la puissance du péché et du mal. Il l’a voulu ainsi pour qu’à travers ceux-ci, il puisse révéler ses attributs divins. […]
Et Dieu, parce qu’il est Dieu, n’a jamais craint la liberté, l’existence du péché, l’apparition de la méchanceté, ou le pouvoir de Satan. Depuis l’origine du péché et tout au long de son développement, Dieu a toujours exercé son pouvoir sur lui. Il ne l’impose pas et ne lui fait pas obstacle avec violence, il lui permet plutôt d’atteindre son plein potentiel. Il est Roi, et pourtant il donne au péché un libre accès à son royaume. Il lui permet de toucher à tout – à son monde, à ses créatures et même à son Oint, car le mal ne peut pas exister sans le bien.
Il lui permet de toucher à tout ce qui lui appartient ; il lui accorde la possibilité de montrer ce qu’il sait faire, de sorte qu’à la fin, Dieu pourra quitter le champ de bataille en Roi des rois. Car le péché, par nature, se détruit lui-même par la liberté qui lui est accordée ; il meurt de ses propres afflictions ; il se condamne lui-même à la mort. Au sommet de sa puissance, il apparaît, par la croix seule, publiquement dans son impuissance (Col 2.15).
H. Bavinck, cité en  Andrews III, dans l’Évangile et l’Histoire, p 47, IBG-Clé (Carson/Keller)


Même si vous croyez que Christ est mort uniquement pour ses élus, votre présentation de l’Évangile doit être exactement la même que celle de l’homme qui pense le contraire. […] nous devons inviter les pécheurs à venir à Jésus-Christ, le Sauveur vivant, qui, en vertu de sa mort propitiatoire, peut pardonner à tous ceux qui se confient en lui et les sauver.
James PACKER, L’évangélisation et la souveraineté de Dieu, p 65


Le Nouveau Testament invite les hommes à mettre leur confiance en Christ simplement parce qu’ils en ont besoin et parce qu’Il s’offre à eux; à tous ceux qui le reçoivent ainsi, le Nouveau Testament promet tous les bienfaits que par sa mort il a assurés à son peuple. Ce qui est universel dans le Nouveau Testament, et ce qui embrasse tous les hommes, c’est l’invitation à croire, et la promesse du salut pour tous ceux qui le font.
James PACKER, L’évangélisation et la souveraineté de Dieu, p 66


La foi en la souveraineté de Dieu ne change rien en ce qui concerne la sincérité de l’invitation de l’Évangile ni la vérité de ses promesses. Indépendamment de ce que nous pouvons penser au sujet de l’élection ou même des desseins éternels de Dieu dans l’œuvre de Christ, le fait demeure que, dans l’Évangile que Dieu nous a confié, il offre réellement Christ et promet la justification à « quiconque»: « quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ». De même que Dieu annonce à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir, de même il les invite à venir à Christ pour expérimenter sa miséricorde.
James PACKER, L’évangélisation et la souveraineté de Dieu, p 96


La gloire de l’Évangile, comme révélation de la grâce divine, est le fait que l’invitation est libre et sans limite. […] Notons l’universalité de ces promesses. Christ est offert à tous ceux qui ont besoin de lui, à tous ceux qui se tournent vers lui, à tous ceux qui croient. Personne n’est exclu de la miséricorde de Dieu, sauf ceux qui s’excluent eux-mêmes par leur impénitence et par leur incrédulité. (p 97, 98)
James PACKER, L’évangélisation et la souveraineté de Dieu, p 7, 98


Cette doctrine de l’élection et de la réprobation éternelles n’implique-t-elle pas que tous ceux qui désireraient venir à Christ ne le pourront pas, parce qu’ils ne seront pas parmi les élus? L’’Évangile coupe court à leurs craintes en leur rappelant la promesse réconfortante du Seigneur: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. » (p 98) […] Il faut prendre la parole de Christ au sérieux aussi bien lorsqu’Il affirme qu’Il sauvera quiconque croira en Lui que lorsqu’Il dit qu’Il est venu spécifiquement pour sauver ceux que le Père Lui avait donnés.
James PACKER, L’évangélisation et la souveraineté de Dieu, p 98, 99


Packer cite le puritain John Owen, qui enseignait la même doctrine de la prédestination que lui, et qui s’adressait pourtant ainsi à ses auditeurs inconvertis :
Voici comment Dieu s’adresse à vous aujourd’hui : Pourquoi mourriez-vous? Pourquoi périr éternellement ? N’auriez-vous pas pitié de vos propres âmes ? Qu’en sera-t-il de vous au jour du jugement ? Tournez-vous vers moi pour être sauvés; […] Venez, je vous en supplie; n’hésitez plus; ne me rejetez plus; l’éternité est devant la porte, ne me détestez pas à tel point que vous préfériez périr plutôt que d’accepter la délivrance que je vous propose… […]
Citation du livre  » The Glorof Christ » de John Owen.
Et James Packer conclut :
Il en est bien ainsi. Les invitations que Christ adresse aux pécheurs sont d’origine divine. Elles sont sincères. Elles sont vraies. C’est ainsi qu’il faut les présenter aux inconvertis, et de plus il faut le faire avec insistance. La doctrine de la souveraineté de Dieu dans la grâce ne modifie en rien notre responsabilité de présenter l’Évangile de cette façon.
James PACKER, L’évangélisation et la souveraineté de Dieu, p 100


La Bible ne dit jamais que les hommes ne peuvent pas aller au Ciel parce qu’ils n’ont pas été élus, mais parce qu’ils « négligent un si grand salut », et parce qu’ils ne veulent pas se repentir et croire. Le dernier jugement montrera que ce n’est pas parce qu’elles n’ont pas été élues que des âmes seront éternellement perdues, c’est à cause de leur paresse, de leur amour du péché, de leur incrédulité et de leur refus de venir à Christ.» Dieu donne aux hommes ce qu’ils choisissent; non le contraire. Ceux qui choisissent la mort ne peuvent par conséquent que s’en prendre à eux-mêmes si Dieu ne leur donne pas la vie. La doctrine de la souveraineté de Dieu ne change absolument rien à la responsabilité des pécheurs.
James PACKER, L’évangélisation et la souveraineté de Dieu, p 101

Note : Après ces nombreuses citations de cet auteur si apprécié par son opus « Connaître Dieu », il me faut ajouter que nous ne voulons pas le « récupérer » : sur le site hyper calviniste « Le Vigilant », il mène un langage aussi méprisant que celui de Calvin envers ceux qui ne seraient pas déterministes.
Comprenne qui pourra !

Grandir en Christ

Consultez d’abord le texte suivant :
Notre identité fondamentale : en Christ !

Dans cette rubrique, des articles qui nous stimulent à rester et à grandir en Christ. Parmi eux, des extraits de bons vieux livres à sauver de l’oubli.

Lire l’A T dans la nouvelle Alliance -1 (CS)

Lire l’AT dans la nouvelle Alliance -2 (CS)

C’est la faute au cerveau (Edward WELCH)

La grâce de Dieu dans la souffrance (David Powlison)

La confession du péché des ancêtres  ? (Henri Blocher)

Écho aux articles sur les péchés des ancêtres (Jean-Paul Pelsy)

À l’école de la grâce (Jerry Bridges, Excelsis)

Ce Jésus que je ne connaissais pas (Philippe Yancey, Farel)

Connaître Dieu (J.I. Packer, Grâce et vérité)

Christ au cœur de la prédication (Graeme Goldworthy)

Le caractère de Dieu (Roger OLSON)

En fait, le titre global de l’article de Roger Olson que je veux vous présenter est : En quoi le calvinisme est-il problématique ? Je sais que ce titre ferait fuir mes lecteurs stupéfaits, parce qu’il leur semblerait qu’il ne correspond pas du tout à l’objectif et à la tonalité paisible du blog. Et pourtant, donnez-moi une chance. Vous ne le regretterez pas ! Continuer à lire … « Le caractère de Dieu (Roger OLSON) »

Ligne éditoriale

Tout de suite une illustration pour donner le ton :

Un éléphant, c’est… comme un éventail ? comme un serpent ?  comme un arbre ?  comme une corde ? comme un mur ? ou comme une lance ? 

C’est tout cela, selon la partie que vous considérez ! L’erreur serait de proclamer que l’éléphant est un arbre et de décrire sa supposée couronne, son feuillage, ses fruits. Ou de dire que c’est une maison, en imaginant ses fenêtres, son toit, sa cheminée qui fume.

Mon souhait est que nous évitions à la fois de réduire la doctrine du salut à nos perceptions partielles et d’y inclure des extrapolations, fruits de notre philosophie.

L e s  f o n d a m e n t a u x

Toute notre doctrine doit s’appuyer exclusivement sur les Écritures, toutes les Écritures, et sur la rédemption en Jésus seul, notre Sauveur et Maître.

  • Ce salut, Dieu le donne par pure grâce et nous le recevons avec gratitude par la foi.
  • Dieu est parfaitement souverain, parfaitement juste et parfaitement bon.
  • Nous ne voulons pas simplement suivre une ligne de théologie.
    Comme les Juifs de Bérée, la Parole de Dieu nous invite à examiner et à éprouver toutes choses. (cf. Actes 17.11 ; 1 Thess. 5.21)
  • Essayons donc ensemble de mieux comprendre la doctrine d’un Dieu parfaitement souverain et saint, juste et aimant envers tous les hommes.
    Je suis ouvert à vos observations !

E n  g u i s e  d e  p r é f a c e

Une bien courageuse contribution à un débat historique, non sans implications ! Les éléments mis à disposition sont déjà appréciables… Bonne idée d’avoir ajouté des témoignages, cela « incarne » bien le sujet ! La présentation claire et lisible est un plus, et contribue utilement. Merci, et bons débats !
Roland Frauli

Félicitations pour ton site d’apologétique et d’évangélisation : la typographie est très lisible et la navigation aisée.
Sur le fond, je pense qu’il ne faut pas te sentir découragé ou en position d’infériorité vis-à-vis du mouvement néo-calviniste : un verset comme Jean 3.16 a toujours été et sera toujours compris par l’Église comme  l’invitation sincère de Dieu au salut, adressée à tous les hommes sans exception. Tous portent l’image du Créateur, tous par conséquent sont susceptibles d’être rachetés et restaurés par lui.
Si pour expliquer le salut de façon théorique, certains se rattachent  à un système théologique fondé sur l’élection et la prédestination, ce n’est pas grave en soi, tant qu’en pratique ils continuent d’offrir universellement l’Évangile. C’est d’ailleurs le cas, je pense, de  la plupart des pasteurs qui se disent néo-réformés : calvinistes sur Facebook, mais wesleyens derrière le pupitre…
Claude Royère  (Arizona)

Introduction

 

par Dudley WARD

Imaginons la scène suivante : Trois complices braquent une banque, molestent les employés et s’enfuient avec leur butin. Grâce aux caméras de surveillance, ils sont vite arrêtés et se retrouvent ensemble au tribunal où ils ne peuvent qu’avouer leur méfait. Le verdict tombe : Tous pareillement coupables ! Mais la sanction infligée par le juge laisse sans voix : deux des braqueurs écopent d’une juste peine de prison et le troisième est… acquitté ! Continuer à lire … « Introduction »

Les enjeux

par David SHUTES

Les grands enjeux, les questions sur lesquelles le débat se porte, sont plus ou moins standardisés depuis l’époque des partisans de Jean Calvin et de Jacob Arminius. Les calvinistes, les premiers, les ont formulés autour de cinq points. Les arminiens, en réponse, ont formulé leur propre système en fonction des mêmes cinq points,avec évidemment d’autres réponses. Continuer à lire … « Les enjeux »