Ligne éditoriale

Tout de suite une illustration pour donner le ton :

Un éléphant, c’est… comme un éventail ? comme un serpent ?  comme un arbre ?  comme une corde ? comme un mur ? ou comme une lance ? 

C’est tout cela, selon la partie que vous considérez ! L’erreur serait de proclamer que l’éléphant est un arbre et de décrire sa supposée couronne, son feuillage, ses fruits. Ou de dire que c’est une maison, en imaginant ses fenêtres, son toit, sa cheminée qui fume.

Mon souhait est que nous évitions à la fois de réduire la doctrine du salut à nos perceptions partielles et d’y inclure des extrapolations, fruits de notre philosophie.

L e s  f o n d a m e n t a u x

Toute notre doctrine doit s’appuyer exclusivement sur les Écritures, toutes les Écritures, et sur la rédemption en Jésus seul, notre Sauveur et Maître.

  • Ce salut, Dieu le donne par pure grâce et nous le recevons avec gratitude par la foi.
  • Dieu est parfaitement souverain, parfaitement juste et parfaitement bon.
  • Nous ne voulons pas simplement suivre une ligne de théologie.
    Comme les Juifs de Bérée, la Parole de Dieu nous invite à examiner et à éprouver toutes choses. (cf. Actes 17.11 ; 1 Thess. 5.21)
  • Essayons donc ensemble de mieux comprendre la doctrine d’un Dieu parfaitement souverain et saint, juste et aimant envers tous les hommes.
    Je suis ouvert à vos observations !

E n  g u i s e  d e  p r é f a c e

Une bien courageuse contribution à un débat historique, non sans implications ! Les éléments mis à disposition sont déjà appréciables… Bonne idée d’avoir ajouté des témoignages, cela « incarne » bien le sujet ! La présentation claire et lisible est un plus, et contribue utilement. Merci, et bons débats !
Roland Frauli

Félicitations pour ton site d’apologétique et d’évangélisation : la typographie est très lisible et la navigation aisée.
Sur le fond, je pense qu’il ne faut pas te sentir découragé ou en position d’infériorité vis-à-vis du mouvement néo-calviniste : un verset comme Jean 3.16 a toujours été et sera toujours compris par l’Église comme  l’invitation sincère de Dieu au salut, adressée à tous les hommes sans exception. Tous portent l’image du Créateur, tous par conséquent sont susceptibles d’être rachetés et restaurés par lui.
Si pour expliquer le salut de façon théorique, certains se rattachent  à un système théologique fondé sur l’élection et la prédestination, ce n’est pas grave en soi, tant qu’en pratique ils continuent d’offrir universellement l’Évangile. C’est d’ailleurs le cas, je pense, de  la plupart des pasteurs qui se disent néo-réformés : calvinistes sur Facebook, mais wesleyens derrière le pupitre…
Claude Royère  (Arizona)