Deutéronome 29.28 : les choses cachées et les choses révélées

Dieu aurait déterminé toute action humaine, bonne ou mauvaise,  et en même temps, l’homme serait entièrement responsable de ces mêmes actions ? (compatibilisme). 
S’agit-il d’ un mystère insondable, à prendre par la foi sans examen ou d’une contradiction logique inacceptable ? 
Essayer de comprendre serait-il coupable et sans intérêt pour notre vie ?

La base de notre réflexion

Deutéronome 29.28 : Ce qui est caché est réservé à l’Éternel notre Dieu.
Par contre, nous sommes concernés pour toujours par ce qui a été révélé,
par toutes les paroles de cette Loi qu’il nous faut appliquer. 

La connaissance de Dieu est-elle une chose cachée ou une chose révélée ?
Autrement dit, notre Dieu est-il un Dieu insaisissable ou un Dieu compréhensible ? Nous répondons bien sûr tous : les deux !
Voyons cela de plus près :

1. Un Dieu transcendant, incompréhensible ! 

Il n’est pas question de faire de Dieu un sujet d’exploration rationnelle, qui nous permettrait de le mettre en formules…

Cette image d’emci tv est très parlante à ce sujet. 

En Ésaïe 55.8 et 9, nous lisons : 

Car vos pensées ne sont pas mes pensées,
et vos voies ne sont pas mes voies, déclare l’Éternel ;
autant le ciel est élevé au-dessus de la terre,
autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies,
et autant mes pensées sont élevées au-dessus des vôtres.

Nous reviendrons sur ce « Car » ! Pour l’instant, soulignons la distance abyssale (note 1)  qu’il y a entre les pensées du Dieu tout-puissant et saint, et celles de ses créatures humaines et pécheresses. En effet :

• Qui comprend un Dieu éternel, sans commencement, sans fin ?
• Comment comprendre un Dieu qui est si grand qu’il a créé cet immense univers, et qui pourtant nous connait chacun mieux que nous-mêmes ?
• Qui sondera la réalité d’un Dieu unique, en trois personnes distinctes ?
• Comment comprendre la création du monde et de son humanité ?
• Qui comprend l’émergence du mal dans un ciel parfait, et sa séduction pour Adam et Ève avant que leur cœur ne soit pécheur ?
• Comprenez-vous l’incarnation de Dieu dans un corps d’homme, et l’amour sacrificiel de Jésus sur la croix ?
• Moi, je ne comprends absolument pas comment le Dieu saint et pur ait pu m’aimer, m’attirer à lui et faire de moi son enfant !

Tout cela nous dépasse, mais remarquons que Dieu nous dit ces vérités et ne nous les explique pas : les sonder serait se lancer dans des spéculations vaines que les Écritures réprouvent ! Mais constatons ceci :

Aucun de ces mystères  ne constitue une contradiction logique !

En effet, il ne nous est dit nulle part :
– que Dieu est éternel, et en même temps, il a eu un commencement !
– que Dieu est unique, et en même temps, il y a d’autres dieux à côté de lui,
– que Dieu est trinitaire, et en même temps, il y a une seule personne en Dieu !
– que Dieu déteste le péché, et en même temps, il a voulu avant la fondation du monde qu’Adam et Ève pèchent ! (ce que Calvin, qui y croyait, appelait l‘horrible dessein de Dieu !)

Accepteriez-vous ces contradictions logiques évoquées, parce que nous sommes humains et pécheurs ? Sans aller jusqu’à la contradiction logique,  admettons humblement que même des cervelles régénérées n’échappent pas à nos limitations humaines !

Notre connaissance de Dieu sera toujours fragmentaire ! 

1 Corinthiens 13.12 : Aujourd’hui, certes, nous ne voyons que d’une manière indirecte, comme dans un miroir. Alors, nous verrons directement.
Dans le temps présent, je connais d’une manière partielle, mais alors je connaîtrai comme Dieu me connaît.

Cela signifie-t-il qu’il nous soit interdit d’essayer de mieux connaître notre Dieu ? Personne ne prétend cela, heureusement, car il s’agit de notre objectif premier en lisant les Écritures ! 

Jean 17.3 : la vie éternelle consiste à te connaître,
toi le Dieu unique et véritable, et celui que tu as envoyé : Jésus-Christ.

Proverbes 25.2 : La gloire de Dieu, c’est de tenir certaines choses cachées, la gloire du roi, c’est de s’enquérir soigneusement des choses.

S’enquérir soigneusement, car Dieu s’est heureusement révélé à nous, nous allons le (re)voir ! Mais avant cela, quelles dispositions d’esprit doivent être les nôtres ?

• De ce qui précède, il découle que c’est avec humilité que nous nous approcherons des Écritures ! Nous ne voulons pas sonder le texte sans avoir prié Dieu de… sonder nos cœurs. Nous voulons nous laisser convaincre de nos erreurs, à la lumière de sa Parole !

• Cela signifie aussi prendre en compte la révélation de Dieu aux authentiques croyants à travers les âges ! Nous devrions nous appuyer fermement sur ce que nos prédécesseurs ont discerné comme base intangible de la foi biblique.
  Donc, pas de prophètes solos que Dieu aurait attendu le 21e siècle pour les illuminer de ce qu’il aura caché à tous les précédents !
  Pas de foi « à la carte » perso non plus, par rapport à la confession de foi de notre communauté, de notre union d’églises et de nos fédérations. 
  (Le jour où je serai le seul à défendre mes positions, vous saurez que je me serais muté en un Don Quichotte qui se bat contre des moulins à vent !)

• Chercher à mieux connaître Dieu comporte néanmoins
  la nécessité de confronter nos convictions à celles des autres,
  et donc, soit d’abandonner, soit de réfuter celles qui ne nous semblent pas bibliques.

Et Paul écrit à Tite :

Qu’un ancien… soit attaché à la vraie parole telle qu’elle a été enseignée,
afin d’être capable d’exhorter selon la saine doctrine et de réfuter les contradicteurs. (Tite 1.9)

Ceux que Dieu appelle à ce ministère de docteurs dans son Église ne sont pas de vains polémiqueurs, à condition qu’ils aient bien compris la finalité de leur mission :
le triomphe de la vérité, la gloire de Dieu, une obéissance accrue venue d’un cœur pur et aimant !

Voyons la deuxième caractéristique de Dieu, complémentaire à la première, et non opposée à elle : 

2. Un Dieu immanent et compréhensible

Notre Dieu est à la fois incompréhensible et compréhensible :
une contradiction logique ?

 Eh non, bien évidemment ! Permettez-moi une petite illustration :
Après 50 ans de vie commune, je peux dire que mon épouse et moi, on se connait et on se comprend de mieux en mieux, en tout cas assez bien pour pouvoir vivre harmonieusement ensemble sans trop se crêper le chignon ! 🙂 Pourtant, il arrive que je trouve une réaction de Sonia incompréhensible, et, vis versa, je la stupéfie encore par les miennes, euh… pas toujours très sanctifiées ! Et puis, moi, je ne saurai jamais ce que c’est que d’être femme, épouse, enceinte, mère, âme du foyer, cuisinière : ma femme est pour moi à la fois de plus en plus compréhensible dans beaucoup de domaines, et restera absolument indéchiffrable dans d’autres !
Mais nos noces d’or toutes récentes étaient un vrai bonheur !

Ainsi, notre Dieu est-il parfaitement incompréhensible dans les domaines qu’il a jugé bon de nous cacher, et progressivement compréhensible dans les domaines où il s’est révélé à nous.

C’est-à-dire qu’il nous montre de lui tout ce dont nous avons besoin pour vivre avec lui, l’aimer et l’adorer ! 

Romains 1. 19 à 23 : En effet, ce qu’on peut connaître de Dieu est clair pour eux, Dieu lui-même le leur ayant fait connaître. Car, depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient dans ses œuvres quand on y réfléchit.

Ils n’ont donc aucune excuse, car alors qu’ils connaissent Dieu, ils ont refusé de lui rendre l’honneur que l’on doit à Dieu et de lui exprimer leur reconnaissance. Ils se sont égarés dans des raisonnements absurdes et leur pensée dépourvue d’intelligence s’est trouvée obscurcie. Ils se prétendent intelligents, mais ils sont devenus fous.  
Ainsi, au lieu d’adorer le Dieu immortel et glorieux, ils adorent des idoles, images d’hommes mortels, d’oiseaux, de quadrupèdes ou de reptiles.

Ce texte comporte de précieux enseignements pour notre enquête :

• Ce qu’on peut connaître de Dieu est clair pour les êtres humains, Dieu lui-même le leur ayant fait connaître ! 
• Avec raison, on a toujours vu ici le langage puissant de Dieu dans sa création et dans sa providence.
• Mais pourquoi limiter ces « œuvres » de Dieu à une révélation toute extérieure, sans relation avec l’œuvre fondamentale de la rédemption, que pourtant Jésus est venue accomplir ? Pour la première fois, j’inclus donc dans ma compréhension de ce passage la révélation du Sauveur dans les Écritures, et cela pour tous les hommes ! Bien-sûr par la Parole, mais des livres comme « L’Éternité dans leurs cœurs » racontent comment Dieu sait aussi se faire connaître autrement, en attendant l’arrivée des Écritures !
•  D’après ce texte, les êtres humains n’ont aucune excuse. Ils ne pourront jamais prétendre que la connaissance de Dieu leur aura manqué, donc que Dieu leur aura caché ce qu’ils ont besoin de savoir pour le chercher et le trouver : ils sont tous pleinement responsables de leur attitude, très judicieusement décrite ici et Dieu les appelle, les supplie de venir à lui !

On reviendra à Romains 1. J’avais aussi dit qu’on reviendrait à Ésaïe 55.8 en portant notre attention sur le « Car » introductif :  Car vos pensées ne sont pas mes pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, déclare l’Éternel ; etc.
C’est maintenant ! Que trouvons nous avant ce mot de liaison ?

Ésaïe 55.6, 7 : Tournez-vous donc vers l’Éternel, tant qu’on peut le trouver. Adressez-vous à lui tant qu’il est proche ! Que le coupable abandonne sa voie, et l’homme malfaisant ses mauvaises pensées ! Et qu’il revienne à l’Éternel qui aura compassion de lui, à notre Dieu qui lui accordera un pardon généreux.

Extraordinaire ! Le même texte qui nous enseigne sur le caractère incompréhensible de Dieu annonce aussi qu’en ce qui concerne le chemin du salut, Dieu s’est révélé de manière tellement compréhensible, tellement invitante ! Vous jubilez, n’est-ce pas ?

Ce message restera toujours résumé le plus clairement par le passage biblique qui m’a inspiré le titre de mon blog :

Jean 3.16 :  Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.

Encore un merveilleux « Car », qui montre sans ambiguïté que notre salut ne découle que de la mort de Jésus sur la croix, et ne dépend que de notre foi pour nous l’approprier !

Et non de notre prédestination au salut ou… à la damnation, affirmée nulle part dans les Écritures.
Curieusement, plusieurs évangélistes et théologiens qui ont par ailleurs mis un accent très fort sur la prédestination, ont aussi souligné l’universalité de ce « quiconque », impossible à remplacer par « une poignée d’élus », et ont affirmé avec force que personne n’ira en enfer parce qu’il n’aura pas été élu, mais uniquement parce qu’il aura rejeté la grâce ! Amen !

On pourrait arrêter l’article ici, tellement les choses semblent évidentes et ne peuvent être contredites. Mais nous n’aurions pas répondu aux objections insistantes ! Si ça vous suffit ainsi, arrêtez votre lecture ici, mais reportez-vous quand-même à la conclusion de l’article, merci !

3. Que faisons-nous de la doctrine de la prédestination ?

Y a-t-il une tension irréductible entre la doctrine de la prédestination (qui affirme que Dieu a prédéterminé de toute éternité qui serait sauvé sans rapport avec une disposition de cœur des humains)  et celle de la responsabilité entière des hommes ?
Je suggèrerais plusieurs réponses, dont la plupart sont d’ailleurs déjà développées sur le blog (et souvent par plus compétent que moi !)

Une question de culture ?

Je crois qu’il est inutile de réfuter que c’est notre cœur pécheur qui nous fait ressentir comme une contradiction logique l’affirmation d’une chose et de son contraire. À ce compte-là, comment savoir si ce cœur ne nous fait pas constamment comprendre de travers ce que nous lisons ?

Mais que  répondre à cela : C’est notre culture grecque qui nous ferait être heurtés par la contradiction logique que nous allons examiner. Les juifs et les orientaux en général n’ont pas ce problème !?

Autrement dit, pour ce seul sujet, le Saint-Esprit s’exprimerait selon la culture hébraïque, qui serait, pour cette seule occasion, élevée au rang de culture biblique ! Réponse  :

Actes 14.1 : À Icone, Paul et Barnabas entrèrent ensemble dans la synagogue des Juifs, et ils parlèrent de telle manière qu’une grande multitude de Juifs et de Grecs crurent.

1 Corinthiens 1. 22 à 25 : Les Juifs demandent un signe miraculeux et les Grecs recherchent la sagesse. Or nous, nous prêchons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les non-Juifs, mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, qu’ils soient juifs ou non.
En effet, la folie de Dieu est plus sage que les hommes et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes.

Nous voyons que la communication de Dieu n’est soumise à aucune culture, mais les transcende toutes de manière à pouvoir être compris de tous ! De plus, il est vrai qu’elle peut les heurter toutes par son langage centré sur Jésus Christ crucifié, mais là, ce n’est plus une question de compréhension !!

Le compatibilisme est-il une doctrine biblique ?

Le compatibilisme enseigne que la doctrine de la prédestination- prédermination au salut est compatible avec celle de la responsabilité humaine.
Serait-ce une troisième voie entre le déterminisme pur et la croyance dans le libre-arbitre total ?
Oh que non, d’abord parce que ces deux voies extrêmes n’existent tout simplement pas !

Aucun chrétien attaché aux Écritures n’enseigne que nous serions des robots dans la main de Dieu, et aucun ne proclame que nous serions de petits dieux autogérés ! Ce sont deux clichés, l’un du calvinisme, l’autre de l’arminianisme ! 

Non, le compatibilisme n’est pas une 3e voie, c’est la voie calviniste, et si je défends effectivement une 3e voie, ce n’est pas le compatibilisme, voyez mon article précédent I C I !  et cet autre, déjà plus ancien, où vous comprendrez la différence entre le compatibilisme calviniste et la compatibilité à laquelle nous croyons  I C I ! Ne soyez pas effrayés, ce n’est pas si « théologique » que ça, mais très pratique ! 

Dans la rubrique « Sous la loupe »/1, (et dans « Séries d’articles »,  il y a plein d’articles qui répondent à plus d’objections que nous ne pourrions aborder dans cet article déjà trop long, j’en ai pêché quelques-uns ici :

• Lamentations 3.37,38 : Dieu ordonne tout ce qui arrive ? (je viens d’ajouter une 2e partie et un document très intéressant 😉
• Comment distinguer un mystère d’une contradiction ?  
• Romains 6.17 : Le fait d’être esclaves du péché nous prive-t-il de notre liberté de choix ?
• Romains 9 (2) : Les libres choix de Dieu 
• Mon témoignage d’un Dieu souverain 

Tous ces textes montrent ce qu’est bibliquement la souveraineté de Dieu, à laquelle nous croyons tous, et qu’il ne faut pas confondre avec la prédestination, qui ne concerne pas du tout le salut de l’homme, mais la vocation des élus, donc des enfants de Dieu !

Mais qu’en est-il de la responsabilité de l’homme ?

Ne sommes-nous pas morts, incapables de nous tourner vers Dieu ? 
Voyez : Éphésiens 2.1, 5 : On ne lance pas une corde à un mort ?

Un orateur fait remarquer à juste titre que le libre-arbitre absolu n’existe pas, et que nous sommes très différents, très inégaux : notre environnement favorable ou non facilite ou freine l’accès à l’Évangile ! Et nos cœurs semblent quand-même prédéterminés à prendre nos décisions !?  Ainsi, cet orateur souligne que, comme il n’a pas choisi d’aimer ou de détester certains aliments, certains semblent avoir un cœur préparé pour recevoir Christ et d’autres pas du tout !

Il y a du vrai dans ces observations ! Mais prennent-elles en compte l’action du Saint-Esprit envers tous les hommes ?

 Jean 12.32 : Jésus dit : Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi.

Jean 16.7 : En effet, si je ne m’en vais pas, le défenseur ne viendra pas vers vous; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai 8 et, quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice et le jugement…

Oh, heureusement que nous ne sommes pas prédéterminés par nos gênes et par nos circonstances !! Ainsi, dans ma jeunesse, j’avais en horreur les fromages odorants, et ne me régalais que de gouda ou d’autres Bombel-Babybel ! Aujourd’hui, ne me parlez plus de ces produits : je me délecte de fromages de Munster bien gouleyants !  Vous n’évoluez pas, vous ?
Ainsi en est-il de, si je peux dire, de l’appétence envers l’Évangile !

Nous constatons tous qu’hélas, des personnes qui ont eu l’Évangile au biberon le rejettent et ferment leur cœur, j’en suis tellement attristé ! Et d’autres, qui n’avaient pas de prémices favorables  et une attitude de départ hostile à la bonne Nouvelle, ont changé leurs dispositions de cœur, sous l’effet de l’action de l’Esprit de Dieu ! Pourquoi ? Mystère ! Mais y voyez-vous vraiment une prédestination ? Il nous faut conclure :

Conclusion

Loin d’une contradiction logique entre la prédestination (qui ne concerne pas le salut, mais le service) et la responsabilité humaine, nous croyons en une merveilleuse concordance entre la souveraineté totale du Seigneur qui attire les êtres humains à lui et la réponse pleinement responsable des élus, c’est-à-dire de chacun d’entre nous !

Enfin, revenons encore une fois à ce précieux texte de Romains 1. Il souligne le fil conducteur de toutes les Écritures : la connaissance de Dieu doit conduire à l’adoration du vrai et seul Dieu révélé en Jésus-Christ !
La question qui se pose à chaque être humain est :
« Qui vas-tu décider d’adorer ? » 

L’objectif de cet article ne peut donc être moindre que de nous conduire à mieux adorer notre Dieu ! 

Moi, ces vérités de la Parole me poussent à jubiler et à adorer mon Sauveur et le vôtre. Et vous ?

Merci à ceux qui auront eu la patience de suivre le plus long plaidoyer de mon blog ! Réagissez ! 🙂  Et pensez à partager l’article.    Claude

Note 1 : Je venais d’écrire ces mots le 27.11.2024, quand, le lendemain matin, je lis le feuillet de calendrier à effeuiller Vivre Aujourd’hui de mon ami Richard Doulière, « Le Roi des rois seul Souverain ».  Dès le début, le voilà qui parle de « la grandeur abyssale qui sépare la créature du Créateur » !  (Je vous encourage à le lire ici : Le Roi des rois seul Souverain)

Non, il n’y a pas plagiat, mais peut-être un clin d’œil du Seigneur pour continuer dans cette direction ? 

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