Voici deux pépites de l’ouvrage magistral de Kenneth BOA, Façonnés à son image, (éditions Farel)
L’école du renoncement
Notre problème est que le monde représente beaucoup pour nous; il est visible, tangible, insistant, attirant et bruyant. Tant que nous aimons le monde, nous ne pouvons pas aimer Dieu de tout notre coeur. Il ne faut pas d’efforts pour marcher par la vue, mais la marche par Ia foi (l’assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne voit pas, Hébreux 11.1) réclame le choix douloureux du renoncement. Sans le renoncement, les dons de Dieu prennent la place de Dieu lui-même, et notre relation avec lui sera davantage marquée par notre désir d’obtenir des choses de sa part que de le posséder lui. Cette attitude reflète davantage l’esprit du mercenaire que la véritable amitié; si nous traitions nos amis de cette façon, ils ne tarderaient pas à nous laisser tomber. Dans sa grâce étonnante, Dieu ne nous délaisse pas. Au contraire, Il nous attire patiemment à lui; même si cela exige des décennies, il fait comprendre à ceux qui le recherchent pour ses bienfaits que sans lui, ces biens sont vides et ne satisfont pas. Petit à petit, Il desserre les doigts de la main qui retient de toutes ses forces des objets accessoires pour prendre leur place.
Ce n’est pas un processus facile, il fait appel à une série d’épreuves et de mises à mort successives de nos aspirations et de nos ambitions. /
Demeurer en Christ en puisant notre vie dans la sienne
Au lieu de nous rendre plus forts, Dieu nous amène au point de plus grande faiblesse pour que Christ puisse être fort en nous (ma puissance s’accomplit dans la faiblesse 2 Corinthiens 12.9).
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