Toutes les religions sont régies par un ensemble de dogmes qui les définissent. Ce sont elles qui fixent pour leurs adeptes ce qu’il convient de croire. Ainsi, l’enseignement du catholicisme a vu de nouveaux dogmes apparaître au fil des siècles, au gré des « bulles » des divers papes, et tout bon catholique se doit d’y adhérer. Nos Églises évangéliques ont aussi leurs confessions de foi qui les définissent, elles aussi rédigées par des mains humaines.
Mais… l’Église décide-t-elle vraiment ce qu’il faut croire ? Que disent les Écritures ? Que signifie vraiment notre verset de 1 Timothée 3.15 ?
1 Timothée 3.15 : … Et afin que tu saches, [] comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l’Église du Dieu vivant, la colonne et la base de la vérité.

Il faudrait d’abord définir ce que nous entendons par Église, et l’article de Jean-Paul Mauchard qui suit immédiatement nous guidera pour cela.
L’Église, colonne et appui de la vérité (2)
Ici, contentons-nous d’affirmer que l’Église a comme mission d’enseigner clairement la doctrine biblique et de protéger les rachetés des fausses doctrines.
C’est la Parole qui définit ce qu’il convient de croire et d’enseigner, et les exégètes des Écritures n’ont d’autre mission que de veiller à ce que l’Église ne s’écarte pas de cet enseignement, ne le déforme pas, et ne suive pas aveuglement des maîtres à penser douteux. Car :
2 Jean 7 : Plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde … 8 Prenez garde à vous-mêmes … 9 Quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a point Dieu ; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils.
Depuis la chute, l’homme est malade, et, parallèlement à l’Évangile – se servant parfois de lui – , plusieurs « médecins » se précipitent à son chevet et proposent leurs vérités, qu’ils mélangent souvent subtilement à la vérité biblique.
Je vous propose d’en identifier trois et de les confronter à la Parole de Dieu, donc à la vérité.
La tâche n’est pas aisée pour deux raisons :
D’abord, quand le chrétien raconte que Christ a changé sa vie, beaucoup de personnes étrangères à l’Évangile témoignent également d’un changement radical intervenu dans leur existence, et cela par l’entremise des principaux « médecins » dont nous allons parler.
D’autre part, on s’attendrait à ce que, quand quelqu’un se convertit à Christ, sa vie soit entièrement renouvelée. Or, ce n’est pas le cas ! Très vite après la conversion, nous constatons que la vie nouvelle comporte quelques problèmes, plus forts que nous, tendant à nous dominer : présence de péchés tenaces, fruits de l’ancienne vie, de la vieille nature, écroulement du cliché « Venez à Jésus et votre vie sera un long fleuve tranquille »
Pour ces deux raisons, il semble important de comparer la conversion chrétienne de l’homme ainsi que la manière de résoudre les problèmes qui le dominent à trois autres « conversions » ou styles de vie, afin de mieux cerner ce en quoi la vraie conversion biblique et la vraie marche chrétienne s’en distinguent.
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Le premier médecin : la réforme morale
La conversion biblique est-elle une réforme morale pieuse ? Jetons un regard sur les philosophes moralistes du temps de Paul. Savez-vous ce qu’ils visaient d’obtenir de leurs auditeurs – lecteurs ?
Rien de moins que la conviction de leur état de péché ! Ils voulaient les amener à se repentir, à opérer une réorientation radicale, à montrer une capacité de décision, à rompre complètement avec leur passé, à commencer une nouvelle vie, à se réveiller, à être sobres, à expérimenter une métamorphose etc.
Voici un témoignage de conversion philosophique :
Mon cher ami, le philosophe Nigrinus prononça un discours vraiment divin ! Il loua la philosophie et la liberté qu’elle apporte, tout en ridiculisant les choses qui sont couramment considérées comme des bénédictions – la richesse et la renommée, le pouvoir et l’honneur, oui et le pourpre et l’or – choses considérées comme désirables par la plupart des hommes et jusque-là par moi aussi. J’ai tout reçu avec une âme avide et ouverte et à ce moment-là je ne pouvais pas imaginer ce qui m’arrivait ; j’étais tout confus. Au début, je me sentais blessé parce qu’il avait critiqué ce qui m’était si cher – la richesse, l’argent et la réputation – et j’ai presque pleuré de leur chute. Puis, je les ai considérés comme appauvries et ridicules et j’étais content d’avoir le regard dirigé vers le haut, si on veut, laissant derrière moi l’atmosphère enténébrée de ma vie passée, vers un ciel clair et une grande lumière. Par conséquent, j’ai carrément oublié mes yeux et leur maladie – pouvez-vous le croire ? – et par degrés, j’accédai à une vue beaucoup plus perçante dans mon âme ; vue que, inconnue de moi-même, je possédais, mais dont je ne voyais rien, jusqu’à ce moment-là. J’ai poursuivi et suis arrivé à l’état dans lequel vous me voyez maintenant et pour lequel vous me faites des reproches. (Lucian Nigrinus)
On se rend compte que le schéma souvent classique des récits de conversions est insuffisant ! (J’étais un alcoolique, je battais ma femme etc. Maintenant, Christ est entré dans ma vie et l’a transformée etc.)
Les païens avaient le même genre de témoignages – sans Jésus !) Et bien des personnes autour de nous sont des modèles de rigueur morale sans Jésus également ! Toutes ces choses sont possibles sans Jésus, elles ne sauraient donc être à elles seules les signes évidents d’une conversion biblique. Ceci d’autant plus que, si nous sommes honnêtes avec nous-mêmes, tout authentiques chrétiens que nous soyons, nous découvrons un abîme de corruption dans notre cœur et cela ne remet pas en question notre conversion.
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Le deuxième médecin : la religion
Les meilleurs représentants de ce que comporte l’image de religion du temps où Jésus était sur terre étaient les pharisiens : Surpris ? Oui, pour nous, un pharisien, c’est un hypocrite ! Et c’est vrai que c’est ainsi que Jésus les a appelés, c’est ce qu’étaient ceux d’entre eux qui l’approchaient pour lui tendre des pièges ! Mais ce n’est pas ce qui caractérisait fondamentalement les Pharisiens, et tous n’avaient pas cette mentalité de fausseté ! Le mot « pharisiens »’ signifie ceux qui se sont séparés ; (Comme l’Église !)
Jésus les a reconnus comme des gens dont la justice et la piété sont exemplaires. (Matthieu 8.20), ils priaient et jeûnaient beaucoup, (Marc 2.18 ; Matthieu 23, 14), ils se donnaient beaucoup de mal pour gagner d’autres à la foi, (Matthieu 23.15), ils donnaient scrupuleusement la dîme, (Matthieu 23.23), ils observaient les commandements, (Luc 18. 20, 21), ils maintenaient scrupuleusement la doctrine biblique, sans rien enlever (Actes 23.8). Ils n’étaient pas d’emblée opposés à Jésus, l’invitaient dans leurs maisons, (Luc 7.36 ; Luc 11.37). Certains ont même essayé de le protéger de la persécution par Hérode (Luc 13.31).
Notons qu’une religion – ou une religiosité – sans Jésus comme Sauveur et Seigneur peut beaucoup et n’en est pas pour autant la foi biblique qui sauve et fait de nous des enfants et disciples de Christ ! Mais elle peut faire illusion !
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Troisième médecin : la psychanalyse
Traditionnellement, il existait une forte méfiance évangélique envers tout ce qui commence par ‘psy’. Toutefois, il nous faut reconnaître que certains mal-être ont pour cause un dysfonctionnement physique ou un désordre psychique qu’un psychiatre ou un neuropsychiatre peut déceler et soigner efficacement. D’autre part, chaque personne qui a le souci de venir en aide à des personnes qui souffrent doit absolument prendre en compte un certain nombre de données psychologiques. Citons-en quelques-unes :
- être conscients des interactions du corps sur le comportement: parfois, il faut conseiller une hygiène de vie (sommeil, alimentation … ) ou diriger vers un médecin.
- être attentifs aux bouleversements émotionnels qu’a pu connaître la personne en détresse: pertes d’être cher, problèmes familiaux (couple, parents, enfants), échecs ds le domaine social ou socioprofessionnel
- être attentifs aux divers arrière-plans de la personne : Arrière-plan familial, arrière-plan religieux, arrière-plan éventuel dans le domaine occulte
- Prendre en compte les tendances personnelles de la personne: actif, confiant, persévérant, nerveux, sérieux, impatient, impulsif, triste, excité, calme, timide, extraverti, introverti, leader, dur, soumis, seul, sensible … (autre)
Confrontons maintenant nos 3 médecins à l’Évangile !
Les psys face à la Bible
L’analyse des problèmes humains des psys et de la Bible sont différents.
Les psys cherchent le dysfonctionnement dans le vécu antérieur du patient, s’intéressent aux circonstances extérieures ayant conduit le patient à vivre les traumatismes qui l’ont mené à l’état qui est le sien. Et la Bible ?
Sans oublier ce que nous avons dit avant sur la compréhension psychologique dont nous devons faire preuve, il est important de dire que la Bible voit la source du mal comme étant intérieure à l’homme, son cœur pécheur.
Si nous ne voulons pas être des amis de Job, nous ne réduirons bien sûr pas toute souffrance au péché; il y a des détresses réelles, mais en général ce n’est pas pour celles-ci qu’on court chez un psy !
L’objectif des psys et celui de l’Évangile sont différents !
Pour les psys, le péché n’est pas un concept. Ils ne viseront donc pas un changement à ce niveau. Ils traiteront les péchés comme des maladies : l’ivrognerie, la goinfrerie, l’apitoiement sur soi-même et les perversions sexuelles…
L’objectif visé n’est donc pas une rupture avec sa vie marquée par le péché (qui n’existe pas pour les psys), mais des retrouvailles avec son moi profond, une rupture avec ce qui l’a emprisonné. (vécu douloureux, enfance perturbée… )
On vise une guérison, alors que la Bible considère que le cœur de l’homme est incurable et qu’il a besoin d’une métamorphose, une nouvelle naissance.
De plus, la psychothérapie part du principe que l’état normal est l’état sans stress, sans problème, sans infirmité et que le bonheur sans nuage est la norme.
La Bible considère lucidement que nous restons participants d’une humanité déchue, donc souffrante. Elle apprend à vaincre malgré la souffrance, malgré des problèmes insolubles.
Par exemple, le chrétien apprendra progressivement à retrouver sa sérénité et à ancrer sa joie dans le Seigneur malgré un patron irascible, malgré un conjoint chagrin, malgré un enfant à problèmes …
2) Les moralistes face à la bible
Contrairement aux psys, les moralistes eux, voient le mal mais essaient d’éduquer moralement les gens, à modifier leur comportement d’après un code de bonne conduite. Ils mettent l’accent sur l’importance de la raison et le fait de compter sur soi~même pour obtenir une force morale, par l’éducation du caractère en vue de la vertu et du bonheur.
Le péché est une réalité trop grave et trop profonde pour pouvoir être traité par une réforme morale, une pratique religieuse ou un traitement psychologique !
Si nous lisons avec soin les chapitres 6 à 8 de l’épître aux Romains, nous constatons que le péché s’appuie sur une ‘vieille nature’ rebelle, il règne dans nos corps mortels, il domine par ses convoitises qu’il éveille. Il est esclavage.
Il nécessite un traitement plus approfondi qu’une réforme :
– La mort et la résurrection de Jésus ont été nécessaires pour le vaincre.
– L’union avec Jésus (identification) nous met au profit de cette victoire.
– L’Esprit de Dieu rend vraiment libres.
– Il nécessite le passage de son esclavage à celui du Seigneur. : libérés pour servir
– Il nous fait entrer dans son projet : Nous transformer pour nous préparer à partager sa gloire
3) Les religieux face à la Bible
La religion se caractérise aussi par des progrès dans l’application d’un code de bonne conduite pieux qui peut même se référer à la Bible, ajouté à des bonnes œuvres. Dans le monde chrétien même, il y a un danger de lutter contre les manifestations du péché sans s’attaquer à la source, le cœur (légalisme).
Pour la Bible, c’est le cœur pécheur qui doit être changé et le changement de comportement n’est qu’un fruit de la conversion chrétienne.
En elle-même, elle n’est pas conversion à une morale ni à une idéologie, mais à Christ. Dieu vise une métamorphose de l’intelligence qui rejette la conformité au monde et vise à discerner la volonté de Dieu (Rom 12.1-)
Les religieux parlent beaucoup de Dieu (rarement de Jésus, quasiment jamais de la croix du calvaire.) Dans la confession de foi de ceux qui se réclament du christianisme, Jésus est aussi leur Sauveur par sa mort, ils l’ont appris au catéchisme. Mais cette mort de Christ n’est pas pour eux le changement radical de la conversion biblique; elle équivaut souvent à l’achat d’un billet pour le ciel. Mais les religieux n’ont pas discerné en lui le Seigneur qui a toute autorité ; Mais comment Jésus peut-il vraiment être le Sauveur s’il n’est pas le Seigneur ?
Pour les Écritures, la notion de péché ne se fonde pas sur un code moral, même biblique, mais elle est plutôt le refus, conscient ou pas, de soumettre sa vie à la seigneurie de Christ !
Inversement, je crains que ceux qui professent être chrétiens tout en se cabrant contre l’obéissance au Seigneur et en étant allergique à la vérité biblique ne soient que des personnes religieuses. On peut cultiver une terrible confusion : être né dans une famille chrétienne, avoir accepté un jour Jésus comme Sauveur (Qui ne voudrait pas d’un tel pardon ?) avoir accompagné simplement la démarche d’un conjoint… et se croire né de nouveau sans avoir choisi de suivre le Seigneur Jésus partout où il les conduirait !
Dieu est actif dans la conversion biblique. Il accompagne la prédication de l’Évangile de puissance et de présence du Saint-Esprit. Il donne l’Esprit aux croyants et ce dernier travaille à sanctifier leurs vies (1 Thessaloniciens 4.3-8). La foi est engendrée dans leurs cœurs par la prédication (Romains 10.8-10) Au moment de la conversion, l’Esprit élit domicile dans les nouveaux croyants et veut diriger leurs vies. (Romains 8.11 ; Galates 3.2)
Pour terminer, revenons au début :
Il est peut-être intéressant de noter ce double statut de l’Église : Si elle est appelée à être colonne et appui de la vérité, elle a d’abord besoin d’être édifiée sur une base solide, la colonne et l’appui de la Parole de Dieu
Si dans nos communautés, nous n’avions pas cette base, nous serions bien plus nombreux, peut-être plus attractifs, car c’est vrai que l’annonce de la vérité repousse ceux qui la refusent; Mais Jésus a imploré son Père :
Sanctifie-les par ta vérité, ta parole est la vérité. Jean 17.17
Attention, il existe une version évangélique des 3 dérives évoquées par rapport à la vérité biblique :
On peut très bien signer une confession de foi très saine et s’égarer – et égarer d’autres-
– en admettant à côté de l’autorité de la seule Parole écrite Logos celle d’une parole prophétique Rhéma incontrôlée,
– en mettant son assemblée sous le terrible joug de la loi et de l’introspection allant parfois jusqu’à interroger le passé de nos ancêtres pour justifier nos défaites, au lieu de tabler sur la victoire du Calvaire,
– en interrogeant excessivement l’enfance des personnes qui manifestent un mal-être profond, au lieu de les conduire vers le Libérateur !
La Vérité est Jésus-Christ lui-même (Jean 14.6). Il nous dit en Jean 8.32 :vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres.
La première arme que Paul décrit en Éphésiens 5 est la ceinture de la vérité. Et la dernière l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu.
Que nos communautés continuent à proclamer droitement cette vérité salutaire et salvatrice, quels que soient les vents et les marées !
CS
Cet article est suivi par un deuxième, beaucoup plus court, rassurez-vous, de la signature de mon ami Jean-Paul MAUCHARD : L’Église, colonne et appui de la vérité (2)
Ressources :
Juste avant de publier, je suis tombé sur cet article de Ressources Chrétiennes, qui nous aide face aux sectes : https://www.ressourceschretiennes.com/article/l%C3%A9glise-colonne-et-appui-de-la-v%C3%A9rit%C3%A9
Et cet autre de Top Chrétien, qui peut peut-être faire comprendre le singulier de « La colonne » : https://topmessages.topchretien.com/serie-texte/lueurs-du-matin/leglise-une-colonne/ si l’on considère une église locale, au sein de l’Église universelle… À moins que vous ayez une meilleure explication ??
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cet article me fait penser à cet ouvrage qui peut apporter un complément dans la réflexion :
» Sacrés désaccords » de James Hely Hutchinson.
Très bon article, Claude ! Je recommande aussi « Sacrés désaccords », qui fait prendre un saint recul face à la tentation de se prendre pour un Don Quichotte chrétien.
Vous êtes deux, chers Denys et Jean-Louis à me recommander ce livre, que j’approuve évidemment ! Si vous êtes familiers du blog, et vous l’êtes, vous savez que je suis très attentif à ne pas combattre les moulins à vent, et que j’ai à cœur d’être modéré et conciliateur, tout en étant ferme sur ce qui est fondamental. Puisque vous me citez le livre en relation avec cet article, y aurait-il dans mon texte un élément abusivement tranchant ? Merci de m’y rendre attentif, chers frangins, ça ne peut être qu’enrichissant ! 😉
cher Claude, je trouve ton article bien détaillé, dans l’équilibre. L’idée est de juste apporter un prolongement. Ce qui nous manque souvent, c’est de vivre un christianisme appliqué. Ton écrit précise utilement des écueils à éviter. Ceux de la pratique religieuse : que dois je faire, ou ne pas faire, pour être sauvé. » Crois seulement » nous presse à nous tourner vers Christ seul ( ce qui te permettra de relever une fois de nouveau encore une part de mes origines 😉). En te lisant, je me sens plutôt ton élève. Merci
Merci pour ce message humble et chaleureux !
Denys, ça fait 18 ans que j’ai déposé mon « tablier » de « maître – ! Puissé-je de plus en plus refléter que je suis un écolier du grand Maître !!
Je souscris à ce que dit Denys. Pas de problème avec ton article, c’est juste l’occasion de mentionner que certains frères (et soeurs ?) se croient parfois en Andalousie… ou au Far West !
Merci Seigneur que de tels pisteleros ne se soient pas encore intéressés à mon blog ! Tous les commentateurs à ce jour sont bienveillants !
Je me souviens d’un temps où un autre Claude et moi, nous faisions souvent les modérateurs face à des freluquets flingueurs de calvinistes, sur le blog effectivement très déterministe du Bon Combat. Les commentaires volaient bas…
Guillaume Bourin a fini par ôter la fonction Commentaires (sans pour autant être ébranlé dans son déterminisme, bien sûr !)
Ceci dit, si un commentaire injurieux se présentait un jour, moi je le bloquerais sans hésitation…